ᛉ Notre camarade Guy Sajer a rejoint le Walhalla ᛦ

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 janvier 2022

Notre camarade Guy Sajer a rejoint le Walhalla le 11 janvier 2022 ᛦ, à l’âge de 94 ans.

Comme en pareille occasion, il y a deux jours, je pensais justement à Guy Sajer. Je suis généralement prévenu de cette manière quand une personne proche en esprit quitte cette terre.

Quoi qu’il en soit, pour nos plus jeunes lecteurs qui ne connaissent pas Guy Sajer, il est l’auteur d’un livre autobiographique majeur, Le Soldat Oublié. Ce livre, d’une très grande puissance tragique, évoque l’expérience de Guy Sajer sur le Front de l’Est, entre 1943 et 1945. De mère allemande et de père français, âgé de 16 ans, Guy s’était engagé volontairement dans la Wehrmacht en 1943 pour participer à la plus grande guerre de l’histoire humaine : l’affrontement titanesque entre l’Allemagne nationale-socialiste et la Russie judéo-bolchevique. Il rejoint la division d’élite « GrossDeutschland » (« Grande Allemagne »), unité de grenadiers blindés qui prend part aux batailles les plus meurtrières du conflit.

Insigne de la Division Grossdeutschland

Le récit, réaliste et désespéré, raconte le cheminement d’un adolescent à travers une guerre d’anéantissement total.

Revenant sur l’action d’Adolf Hitler et le sens de la guerre, Guy Sajer résumait : « Il a essayé ».

Après guerre, Guy Sajer deviendra dessinateur sous le pseudonyme de Dimitri.

Combats sur le Front de l’Est illustrés par Guy Sajer

Un jeune combattant blanc doit avoir lu Le Soldat Oublié.

C’est un témoignage éternel sur la plus grande épopée de l’histoire, au même titre que Les âmes qui brûlent de Léon Degrelle.

Je savais que nous devions passer par ces mauvais moments, pour ensuite connaître une humanité bienveillante. C’est du moins ce que nous avait dit notre Führer Adolf Hitler. Rien de cela n’existe. Qu’il repose en paix. Je ne lui en veux pas plus à lui qu’à tous les autres grands dirigeants de ce monde. Lui, au moins, bénéficie du doute puisqu’il n’a pas eu l’occasion d’établir ces lendemains de victoire. Tandis que les autres, qui ont organisé leur petite paix grelottante aux quatre coins du monde, les autres qui, stupidement hantés par une frousse injustifiée, et au nom d’une évolution éducatrice, ont laissé aux primates du globe l’occasion d’allumer un peu partout des incendies menaçants, ces autres là peuvent être jugés.

Des commerçants pendables. Des commerçants qui ne pouvant plus vendre de nègres, ont alors trouvé une astuce presque aussi rentable et qui vendent à présent les blancs aux nègres ! Tout ceci enrobé dans une petite politique mielleuse de vieille femme. Une politique qui ne prend pas position.

Sait-on jamais ? Le vent peut tourner. Evidemment, dans l’attitude de Hitler ou de Mussolini il y avait un autre style. Ceux-là se permirent de dire non aux vieilles convenances. A tous les potentats : industriels, francs-maçons, juifs ou culs-bénits. A cette époque, tous ces indolents étaient comme des carpettes : fous d’inquiétude devant leurs tirelires dans lesquelles le chef d’orchestre Hitler puisait à deux mains. Cela, évidemment, les rendait blêmes de voir gaspiller tout cet argent pour réaliser un grand opéra. Alors, les spectateurs chiasseux et apeurés grimpèrent sur la scène et étouffèrent le metteur en scène prodigue. Mais ils ne connaissent pas la paix. Les coliques les travaillent sans arrêt. Ils sont à la merci du premier chef de musique, noir ou jaune qui risque de les faire danser une autre danse. Mais, cette danse-là ne sera pas européenne et ils ne comprendront pas.”

Saluons la mémoire de Guy et rappelons-nous :

Victoire ou Walhalla !

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